samedi 5 décembre 2009

CRP, LT, AT, AC, Ch2, S2, §16: De l'unité originairement synthétique de l'aperception

"Tous le divers de l'intuition à donc une relation nécessaire au: je pense, dans le même sujet où se divers se rencontre. Mais cette représentation est un acte de la spontanéité, c'est à dire elle ne peut pas être considérée comme appartenant à la sensibilité. Je la nomme l'aperception pure, pour la distinguer de l'aperception empirique, ou encore l'aperception originaire, parce qu'elle est cette conscience de soi qui, en produisant la représentation: je pense, qui doit pouvoir accompagner toutes les autres, et qui est une et identique en toute conscience, ne peut être accompagnée d'aucune autre."

Une représentation qui ne serait pas ma représentation, existe peut-être, mais n'est rien pour moi. Et ceci est valable pour toute représentation, à fortiori celles qui sont le produit de l'intuition, pure ou empirique. Les catégories sont des principes de synthèse de représentations, mais pour que la synthèse puisse être opérée, il faut que les représentations soient toutes ensemble disponibles pour être reliées.

L'aperception originaire ou pure est le je pense. Le Je pense est la représentation de la conscience de soi, une et identique, qui ne peut être accompagnée d'aucune autre.

Comment des représentations peuvent-elles être rapportées à une conscience de soi?

"Cette identité totale de l'aperception d'un divers donné..................................

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